EST : Qui succèderait à Zouhir ? |
Publié le Mardi 24 Juillet 2007 à 14:04 |
 Le bureau directeur de l’Espérance Sportive de Tunis et plus précisément le président du club ainsi que le vice président Nebil Chaibi et Badine Tlemçani seraient sur le départ. Toutefois, le trio ne présenterait pas sa démission avant le 9 août, date de la prochaine assemblée générale élective. En pôle position pour la présidence ? Fathi Farah. Et le vice président serait Ayoub Knani. A suivre.
Selim Slimi
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Commentaires
Ecrit par Crespo 03-08-2007 13:47
Ecrit par EL Halfaouine 26-07-2007 18:57
Les bonnes habitudes ne doivent pas être oublier chez la grande famille espérantiste rahi Bab Souika?
Rendez vous le 9 Aout 2007 avec le fils du Club Fathi Fareh, son palmarès et son histoire avec le club est inégalable, alors pour le renouveau et tous les licenciés (joueurs et dirigeants) doivent être présent le jour "J" pour élire un nouveau Président avec un nouveau bureau plus dynamique.
Ecrit par BAB SOUIKA 24-07-2007 16:57
Ecrit par Bouha 24-07-2007 16:47
ETTARAJJI YA DAOULA et Ouled Bab Souika resterons toujours les mêmes par amour du Club qui porte l'Or et le Rouge.
Ecrit par Oueld Bab Souika 24-07-2007 16:38
Dans notre pays, là ou tu vas surtout dans nos institutions sportives d'une manière générale tu trouves les mêmes têtes, toujours les mêmes et jusqu'à la mort sans penser à la retraite dont l'un de nos problèmes majeurs dans les petits et grands clubs?
Il faut apprendre de dire un jour, j'ai accompli mon devoir et ma mission envers tel ou tel institution et maintenant je vais mettre fin à mon activité de bénévolat et je vais laisser ma place à une autre personne pour redonner un nouveau souffle et avancer de l'avant.
Je me demande pourquoi cette course derrière le pouvoir et les chaises qui n'ont pas de sens? De toutes les manières la vie continue et notre sport évolue malgré le désordre et le manque de savoir faire?
La limitation de la Présidence à un mandat de deux ans renouvelable une seule fois devient nécessaire dans notre système qui exige des moyens considérables en gestion financière, organisations et logistique sportive, arrêtons les décisions à la hà¢te et oublions itbesniss à la tête des clubs et des joueurs d'une manière générale et la recherche des titres pour une couverture professionnelle.
Après 50 ans d'indépendance, notre sport n'a pas évolué dans la restructuration voulue, malgré les moyens fournis par l'¢Etat et les changements considérables dans le domaine sportif.
L'¢EST restera un grand club et la personne qui va donner de son temps pour une seule cause la bonne gestion de notre premier club, il sera le bien venu chez le chlub de Bab Souika et les enfants du TARAJJI.