La situation en Libye n’est pas rassurante (Rafik Chelli) |
Publié le Vendredi 05 Juin 2015 à 17:01 |
![]() Il a indiqué que la situation en Libye n’était pas rassurante, appelant à la nécessité de faire montre de vigilance et de précaution et de renforcer le contrôle sur les frontières libyennes. Le chef du gouvernement, Habib Essid, avait déclaré ce matin lors de son discours à l’hémicycle, qu’il a été décidé de renforcer le contrôle sur les frontières avec la Libye en installant des barrages sur 168 km, tout en se préparant à faire face aux évolutions de la situation en Libye et ses répercussions humanitaires. Il a par ailleurs promis d’œuvrer à tarir les sources du terrorisme. Gnet
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Commentaires
Ecrit par xjrufgjsn hjenjld 05-06-2015 20:45
La Tolba est devenue notre politique. Ahhhh Dieu merci tu nous a débarrassé des Swahlia. Ils ont fait beaucoup de mal au pays qui devait être la Norvège ou la Suède, n'eut été ces mauvais dirigeants que l'on a eu.
Avec les plus grandes ressources du Maghreb on aurait été aussi bien que les algériens ou que les libyens. Mais ces swahlia n'ont pas voulu.
Heureusement qu'ils sont partis. NOUS allons devenir la Suède. Le seul bémol est ce sahli de Essid qui s'acharne trop sur le pouvoir. S'il avait été remplacé par le grand visionnaire politique qu'est Riahi, on serait déjà la Libye, je veux dire la Suède.
Et puis j'ai une idée: Si on bombardait le Sahel. Je suis sûr que le pays volerai au ciel. L'Amérique ou l'URSS en plein essor! Ou même plus. Avec les nouveaux sauveurs de la Tunisie qui sont sortis par ville entière le 12 janvier 2011 béni pour dire "dégage!" et avaler le second mot qu'ils laissaient dans leur coeur (histoire de sembler présentables et propres): "swahlia".
Hamdoullah ya Rabbi que ces villes et régions généreuses et charitables nous ont sauvé et ont partagé leurs usines et leurs commerces florissant (même sous Ben Ali, mais maintenant davantage) avec les régions pauvres à qui esswahlia n'offraient juste que des boulots de saisonnier l'été, comme d'ailleurs aux trois quarts des swahlias eux-mêmes qui le partageaient.
Maintenant vous pouvez compter sur les grands industriels et financiers qui ont savouré jusqu'à en jouir le départ de Ben Ali.