Hand - Mondial 2017 - J04 : L'Egypte s'impose face à l'Argentine

Pendant que la Tunisie du peuple de la trahison collective du 14 janvier et du peuple de haineux et de régionalistes glisse dans l'oubli et dans l'abîme des peuples sous développés, l'Égypte Digne et Historique du Maréchal Essissi et le Qatar, votre pourvoyeur de révolutions, et votre maréchala Mooza qui en voulait tant aux Ben Ali, se qualifient.
Sans oublier la détresse footballistique qui sera certainement suivie d'une claque à vous arracher la mâchoire cet après midi, par le Grand Peuple d'Algérie. Claque de patriotes aimant leur pays au peuple de traitres et de footeux que vous êtes.
Vous avez détruit votre pays en 2011 de la même manière que vous avez détruit votre sport l'année de tous les malheurs et de toutes les haines en 2008. L'année où allait s'ériger un régionalisme sans précédent suite à la jalousie suscitée par la réussite de l'une de vos équipes à l'étranger.
Vous avez détruit votre pays de la même manière et quasiment pour les mêmes raisons, utilisant des principes "écrans" à une révolution de footeux dont le seul Leitmotiv est un leitmotiv de footeux.
Je vous hais et aurais fait un excellent dictateur pour le peuple de traitres que vous êtes, si par malheur j'étais appelé à vous gouverner. Il faut dire que je fais très peu de cas des traitres de votre espèce.
Le peuple qui était à une seconde de remporter la coupe du monde de handball du temps de Ben Ali; le peuple qui a remporté une coupe d'Afrique de foot et possédé des équipes jouant fréquemment les coupes du monde des clubs en football (dont un mémorable ESS-Boca Junior), a aujourd'hui le pays qui lui ressemble: un pays détruit.
Un peuple qui réagit à toute réussite par de la jalousie destructive, ne peut générer que de la destruction.
Miséreux, bouseux, haineux! Êtes-vous toujours fiers de votre révolution? Souvenez-vous de janvier 2011 lorsqu'usant de votre haine contre la réussite de votre pays, les sionislamistes (derrière Al Jazeera que vous avez eu le culot de remercier), vous avait sorti par villes entières de traitres dans la rue.
Le voilà parti le Ben Ali. Celui dont la réussite vous nargue jusqu'à nos jours. Profitez bien de ce changement historique et bouffez de la liberté de parole jusqu'à vous en égosiller et vous en étouffer!
VIVE BEN ALI,
ÀBAS LES TRAITRES.

Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;

VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.