Ce chef historique du jihad au Maghreb, mentor de plusieurs groupes jihadistes sahéliens, a été tué jeudi à Talhandak, au nord-ouest de la ville malienne de Tessalit, selon des sources proches du dossier. « Plusieurs de ses proches collaborateurs » ont également été « neutralisés », a assuré la ministre, Florence Parly, sur Twitter, sans plus de détails.
Le leader d’AQMI, dont le nom est parfois aussi orthographié Droukdel, a reçu l’allégeance de plusieurs groupes jihadistes actifs au Sahel, rassemblés depuis 2017 au sein du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM, également appelé JNIM).