Prosper Africa : L’USAID et l’UBA s’allient à Tunis pour accroître investissements et commerce entre les Etats-Unis et l’Afrique

07-02-2020

L’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID), par le biais de l’initiative Prosper Africa, s’est associée à la United Bank of Africa (UBA) pour accroître le commerce et les investissements dans les deux sens entre les États-Unis et les pays d’Afrique. Ce partenariat garantit aux entreprises les outils techniques et financiers dont elles ont besoin pour nouer de nouvelles relations commerciales et d’investissement en Afrique et aux États-Unis.

L’USAID fournira son assistance technique et ses services de conseil aux entreprises potentielles par le biais de ses Pôles de commerce et d’investissement, et mettra l’UBA en relation avec les groupes d’entreprises de la diaspora africaine travaillant aux États-Unis. Le protocole d’accord permet à l’UBA, la seule banque d’Afrique subsaharienne autorisée à opérer aux États-Unis, de fournir des services de financement aux entreprises américaines qui souhaitent entretenir des relations commerciales avec des pays africains.

Conscients des énormes possibilités de croissance, l’USAID et l’UBA collaborent pour faire avancer les objectifs de Prosper Africa, qui consistent à accroître considérablement les échanges commerciaux entre l’Afrique et les États-Unis. En travaillant ensemble, ils apporteront aux entreprises un financement et une assistance technique, ce qui renforcera l’économie américaine, contribuera à la croissance des économies africaines et créera des emplois des deux côtés de l’Atlantique.

Les parties ont conclu cet accord dans le cadre de la cérémonie d’ouverture de la conférence Prosper Africa, ayant lieu en Tunisie et co-organisée par l’ambassade des États-Unis à Tunis et la Chambre de commerce américaine de Tunisie. L’événement a pour but de faciliter les relations entre les entreprises américaines et africaines et a été marqué par les interventions de représentants clés du gouvernement américain et des secteurs privés africains et américains.

D’après Communiqué