Tunisie : Des partis et organisations expriment leur « solidarité » avec le Liban, suite à la « catastrophe » de Beyrouth
Des partis politiques et organisations nationales ont exprimé « leur compassion et leur solidarité avec le Liban », dont la capitale a été secouée hier par une explosion sans précédent, ayant fait des dizaines de morts et des milliers de blessés.
Ennahdha exprime sa solidarité avec le Liban et son peuple à l’issue de cette « catastrophe douloureuse ».
Le mouvement présente « ses condoléances aux familles des victimes et à l’ensemble du peuple libanais ».
Ennahdha lance « un appel aux pays frères et amis et aux organisations nationales et internationales pour se tenir aux côtés du peuple libanais, en vue d’alléger les répercussions de cette catastrophe ».
Le mouvement Qalb Tounes exprime « sa totale solidarité avec le Liban frère, présente ses sincères condoléances à leurs familles et souhaite prompt rétablissement aux blessés ».
Au cœur de la Tunisie « se dit totalement convaincu que le Liban va surmonter cette épreuve et en sortir fort, uni et fier ».
Le parti appelle la présidence de la république, les organisations et les forces vives « à se tenir aux côtés du peuple libanais, et à lui venir en aide ».
Le mouvement Echaâb adresse « ses sincères sentiments de solidarité avec le peuple libanais, et ses sincères condoléances aux victimes ».
Le mouvement du peuple appelle le gouvernement tunisien « à mettre tous ses moyens à la disposition de l’Etat libanais, afin de minimiser le fardeau sur nos frères, face à cette calamité et ses répercussions humaines, économiques et environnementales ».
Le Courant Démocrate publie sur sa page officielle la photo du Liban, avec la mention : « Que Dieu protège le Liban, que Dieu protège Beyrouth ».
L’UGTT publie, lui, le drapeau du pays du Cèdre avec les mentions : « Que Dieu protège le Liban et son peuple, notre totale solidarité avec vous ».
Le président de la république, Kaïs Saïed, a adressé hier un message de condoléances à son homologue libanais, Michel Aoun, suite aux tragiques explosions de Beyrouth.
Gnetnews